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Hundreds of groups for climate action reject nuclear power at Brussels Summit

More than 600 civil society groups across the globe working on climate action, including 130 from Canada launched a declaration in Brussels, Belgium in late March stating that nuclear power expansion is not a solution to the climate crisis.



The groups declare: "We are living in a climate emergency. Time is precious, and too many governments are wasting it with nuclear energy fairy tales. What we demand is a just transition towards a safe, renewable and affordable energy system that secures jobs and protects life on our planet.”



The groups made their declaration public at the pro-nuclear Summit in Brussels where countries are meeting to bolster the industry's claim that investing in new nuclear plants must be a priority to save the climate. The International Atomic Energy Agency (IAEA), whose principle mandate is to promote nuclear expansion, is co-hosting the event, along with Belgium, which ironically passed a law in 2003 –still on the books – to phase out nuclear power completely.



The declaration was drafted by Climate Action Network Europe. It is endorsed by Climate Action Network Canada, an umbrella organization representing more than 150 groups in this country. Additional Canadian signatories comprise a wide spectrum of coalitions and individual groups in rural and urban regions across Canada including:

David Suzuki Foundation (Vancouver, Toronto, Montreal)

Society of High Prairie Regional Environmental Action Committee (Slave Lake, Alberta)

Coalition for a Clean Green Saskatchewan (Saskatoon, Saskatchewan)

Concerned Citizens Committee (Manitoba)

Biigtigong Nishnaabeg First Nation (Heron Bay, Ontario)

Northwatch (North Bay, Ontario)

Ontario Clean Air Alliance (Toronto, Ontario)

Concerned Citizens of Renfrew County and Area (Ottawa, Ontario)

Kebaowek First Nation (Kebaowek, Québec)

Regroupement des organismes environnementaux en énergie (Montréal, Québec)

Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique (Québec)

Passamaquoddy Recognition Group (Qonaskamkuk, NB)

Conservation Council of New Brunswick (Fredericton, NB)

Council of Canadians Prince Edward Island (Charlottetown, Prince Edward Island)

Nova Scotia Voice of Women for Peace (Halifax, Nova Scotia)

Grand Riverkeeper Labrador, Inc. (Goose Bay, Labrador)

Canadian Association of Physicians for the Environment (CAPE, Canada)

The declaration states that nuclear power is too slow, too costly, and too dangerous to be an effective strategy for climate action. Nuclear plants cost three times more than renewables to build and are at least four times slower to deploy. Energy efficiency measures are cheaper and faster than any supply option. Rather than nuclear power, a sensible climate strategy would prioritize approaches that are cheaper, faster, safer and sustainable, while creating far more jobs.

The global nuclear power industry has been in steep decline for the last quarter century. Cost overruns and lengthy delays have plagued the industry, whose contribution to global electricity supply has fallen from 17.5 percent in 1997 to only 9.2 percent today. Consequently, the nuclear industry has organized itself to grab as much money as it can from funds earmarked by governments to fight climate change.



At last year’s Climate Conference, COP-28, the official resolution to triple renewable energy and double energy efficiency worldwide by 2030 was enthusiastically adopted by all parties, while a prepared statement sponsored mainly by nuclear vendors, to triple nuclear power by 2050 was supported by only a small minority.



In 2020, a broad network of Canadian civil society, public interest, Indigenous and religious groups declared that small nuclear reactors are “a Dirty Dangerous Distraction from real climate action”. Now that prophetic observation is being endorsed by groups globally.

Des centaines de groupes pour l'action climatique rejettent l'énergie nucléaire au sommet de Bruxelles

Plus de 600 groupes de la société civile du monde entier travaillant sur l'action climatique, dont 130 du Canada incluant 11 du Québec, ont lancé une déclaration à Bruxelles, en Belgique en Mars, affirmant que l'expansion de l'énergie nucléaire n'est pas une solution à la crise climatique.

Les groupes déclarent : "Nous vivons une situation d'urgence climatique. Le temps est précieux et trop de gouvernements le gaspillent avec des contes de fées sur l'énergie nucléaire. Ce que nous demandons, c'est une transition juste vers un système énergétique sûr, renouvelable et abordable qui garantisse l'emploi et protège la vie sur notre planète".

Les groupes ont rendu publique leur déclaration à l'occasion du sommet pro-nucléaire de Bruxelles, où les pays se réunissent pour soutenir l'affirmation de l'industrie selon laquelle l'investissement dans de nouvelles centrales nucléaires est une priorité pour sauver le climat. L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIÉA), dont le principal mandat est de promouvoir l'expansion du nucléaire, coorganise l'événement, de même que la Belgique qui, ironiquement, a adopté en 2003 une loi - toujours en vigueur - visant à l'abandon total de l'énergie nucléaire.

La déclaration a été rédigée par le Réseau Action Climat Europe. Elle a été approuvée par le Réseau Action Climat Canada, une organisation faîtière représentant plus de 150 groupes dans ce pays. Les autres signataires canadiens sont un large éventail de coalitions et de groupes individuels dans les régions rurales et urbaines du Canada, notamment

Regroupement des organismes environnementaux en énergie

Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique

Regroupement pour la surveillance du nucléaire

Les Artistes pour la Paix

Kebaowek Première Nation (Kebaowek, Québec)

Coalition pour un développement énergétique responsable au Nouveau-Brunswick

Coalition pour une Saskatchewan verte et propre (Saskatoon)

Concerned Citizens of Renfrew County and Area (Ottawa)

Comité des citoyens concernés (Manitoba)

Fondation David Suzuki (Vancouver, Toronto, Montréal)

Ontario Clean Air Alliance (Toronto)

Association canadienne des médecins pour l’environnement (ACME Canada)

La déclaration affirme que l'énergie nucléaire est trop lente, trop coûteuse et trop dangereuse pour constituer une stratégie efficace de lutte contre le changement climatique. La construction des centrales nucléaires coûte trois fois plus cher que celle des énergies renouvelables et leur déploiement est au moins quatre fois plus lent. Les mesures d'efficacité énergétique sont moins coûteuses et plus rapides que n'importe quelle option d'approvisionnement. Plutôt que l'énergie nucléaire, une stratégie climatique sensée donnerait la priorité à des approches moins coûteuses, plus rapides, plus sûres et durables, tout en créant beaucoup plus d'emplois.



L'industrie mondiale de l'énergie nucléaire est en fort déclin depuis un quart de siècle. Des dépassements de coûts et des retards importants ont affecté l'industrie, dont sa contribution à l'approvisionnement mondial en électricité est passée de 17.5 % en 1997 à seulement 9.2 % aujourd'hui. En conséquence, l'industrie nucléaire s'organise pour récupérer un maximum d'argent sur les fonds alloués par les gouvernements à la lutte contre le changement climatique.



Lors de la conférence sur le climat de l'année dernière, la COP-28, la résolution officielle visant à tripler les énergies renouvelables et à doubler l'efficacité énergétique dans le monde d'ici à 2030 a été adoptée avec enthousiasme par toutes les parties, tandis qu'une déclaration préparée, parrainée principalement par les vendeurs de produits nucléaires, visant à tripler l'énergie nucléaire d'ici à 2050 n'a été soutenue que par une petite minorité de pays.



En 2020, un vaste réseau de groupes canadiens de la société civile, d'intérêt public, autochtones et religieux a déclaré que les petits réacteurs nucléaires constituaient "une distraction dangereuse et sale d'une véritable action en faveur du climat". Aujourd'hui, cette observation prophétique est approuvée par des groupes du monde entier.

Visit smrs-info.ca to learn more

The SMRs Education Task Force is a network of groups in Canada concerned and active on the nuclear file. Together we have many decades of experience providing information to Canadians about nuclear issues, including the proposed small modular nuclear reactors (SMRs). We are providing this bulletin free of charge to encourage more informed awareness of SMRs and their potential implications for communities across the country.



Le groupe de travail sur l'éducation relative aux PRM est un réseau de groupes canadiens préoccupés et actifs dans le dossier nucléaire. Ensemble, nous avons plusieurs décennies d'expérience dans la fourniture d'informations aux Canadiens sur les questions touchant au nucléaire, y compris les projets de petits réacteurs nucléaires modulaires (PRM). Nous fournissons ce bulletin gratuitement afin d'encourager une prise de conscience plus éclairée des PRM et de leurs implications potentielles pour les communautés à travers le pays.

SMRs Information Task Force -
Le groupe de travail sur l'éducation relative aux PRM

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